La Bernardière

Essai d'un autre itinéraire, en passant par Albertville et le col de Glandon ... ... qui s'avère fermé ... ... à cause d'une coulée de boue ... ... qui a coupé la route. Ce sera réouvert dans une heure nous disent les ouvriers ... qui partent manger. Nous pique-niquons alors ici ...
... devant la petite via ferrata ... ... dont la partie basse est très facile. D'ailleurs des enfants en profitent. Au bout d'une heure et demie d'attente, nous faisons finalement le grand tour par Grenoble ... ... pour arriver enfin à la Bernardière, où il y a pas mal de monde. La Tête de Lauranour, au dessus de l'Alpe du Pin. En bas à droite la Froide Pisse est abondante.
Installation chez Gérard et Blandine. Travaux en face. Vue depuis la chambre habituelle. Grand beau. Enfants et petits-enfants (ici de la famille Rivron). Et là, de la famille Laude, Agnès et sa fille. Tentative chez Daniel et Sylvie, mais absents.
On va quand même voir leur « jardin de curé » foisonnant sur la terrasse. Gérard prépare le feu pour le barbecue rituel, sous l'œil dubitatif d'Agnès ... ... et celui intéressé de Kayleigh (prononcer Kaéli). Le feu prend très bien ... ... très très bien ...
... et même trop bien. C'est risqué près du sapin et Gérard va l'éteindre et le déplacer. Rais de soleil dans la fumée. Bon, on va quand même pouvoir manger. Billy et Ryan semblent affamés. Agnès les sert, ainsi que Blandine, pendant que Gérard a quelques difficultés à décapsuler sa bière. Billy tente le Rubik's cube, visiblement « aidé » par Kayleigh ...
... qui essaie à son tour. C'est trooop dur ! Mieux vaut s'amuser avec un jeu inventé, mixture de dames et d'échecs. Petite visite à Saint-Christophe ... ... où la Cordée est toujours là ...
... pour acheter quelques cartes postales ... ... et prendre un pot dans l'arrière-salle, de plus en plus encombrée ! Contraste avec l'Office du tourisme, au décor moderne. Fanny est là aussi, avec ses lunettes de star et grâce à qui, dans six semaines, Anne sera de nouveau grand-mère. Simon, toujours relax.
L'apéro pour les 73 ans de Gérard. Là, on voit mieux le profil prometteur de Fanny ! 92 Jean-Paul nous déclame son long poème octosyllabique sur l'amitié. On évoque de vieux souvenirs. ... sous l'œil vaguement moqueur et attendri de Fanny.
Et c'est reparti pour les causettes ... ... y compris en anglais, à la satisfaction de Billy ! Et, enfin, le gâteau d'anniversaire ... ... et la remise des cadeaux. En particulier ce porte-clé marmotte siffleuse. Difficile à perdre ! Pas question pour autant d'oublier d'apprécier le porto vingt ans d'âge !